Bienvenue à la Médiathèque de Saint-Andiol
banniere
Accueil Recherche avancée Mon compte
handi1 Rechercher dans le catalogue

Filtre   Mots-clés
  Recherche avancée
 
Lister les dernières nouveautés
 
Lister les livres GROS CARACTERES
 
Lister les périodiques (magazines)

handi1 eaux troubles du mojito (Les)

et autres belles raisons d'habiter sur terre

<< Retourner aux résultats de la recherche
Book Cover
Auteur principal : Philippe Delerm
Titre : eaux troubles du mojito (Les)
Support : Livres
Langue : Francais
Publié : 2015 Editions du Seuil Paris
Genre : Nouvelles
Sujets :
Étiquettes :
Pas de tags
LEADER 02535nam0a2200205 450
001 16838260
010 |a 978-2-02-105650-1  |b br.  |d 14,5 € 
100 |a 20151229d2015 u u0frey01 ba 
101 0 |a fre 
102 |a FR 
200 0 |a eaux troubles du mojito (Les)  |e et autres belles raisons d'habiter sur terre  |f Philippe Delerm 
207 1 |a   
210 |a Paris  |c Editions du Seuil  |d 2015 
215 |a 1 vol. (109 p.)  |d 19 cm 
300 |a Nouvelles 
330 |a Sans doute, ce nouveau recueil est-il particulièrement "solaire", invités que nous sommes à goûter au plaisir transgressif du mojito, à se faire surprendre par une averse, à tremper nos lèvres dans la perfection transparente de la pastèque... Mais chez Philippe Delerm, le soleil ne va jamais sans pluie, et le bonheur sans mélancolie. Grand lecteur de Jules Renard, l'auteur le cite en exergue : "Le vrai bonheur serait de se souvenir du présent". Ce présent qui ne cesse de s'échapper, bien sûr, et dont nous avons déjà la nostalgie alors même que nous le vivons. Voici quelques exemples de ces textes. "Tendre est la vie cruelle" : sur l'amour fragile de deux personnes qui, à près de 60 ans, ont plus de passé que d'avenir à vivre ensemble, mais qu'un baiser volé va rappeler à leur adolescence. "On ne peut pas être plus près, plus chauds, plus confondus. Et pourtant c'est le fragile qu'on sent." Le bonheur de "Danser sans savoir danser" : on n'a jamais été de ceux qui fréquentent les boîtes de nuit. On admirait ceux qui, sur les pistes de danse, évoluaient si facilement. Mais un jour, à un mariage, "on choisit de danser. Danser, c'est un grand mot. On bouge comme un ours. Mais ce n'est pas grave. On a passé l'âge des susceptibilités. Chance, ça commence par un twist. On peut jouer son insuffisance au deuxième degré, en pliant les genoux, avec un mouvement de bras qui ne donne pas le change, mais semble se moquer de toute une époque - la nôtre." "Le mensonge de la pastèque" : "Elle est trop belle. Etrange. Est-ce qu'on la boit, est-ce qu'on la mange ? Elle est comme une fausse piste du désir. (...) La mangue et la goyave ont goût de mangue et de goyave. La pastèque n'a goût de rien et c'est donc elle qu'on désire en vain. Elle est la perfection de son mensonge (...) Elle n'est qu'un mirage de la chaleur et de l'été." 
700 0 |a Delerm  |b Philippe  |f 1950-....  |4 70 
900 |a Nouvelles 
901 |a Adultes 
995 |a Médiathèque  |c Médiathèque  |f 089014396  |h 089014396  |k R DEL  |o p  |q a  |r az  |e Médiathèque